mardi 1 mars 2011

F*ck you, Mark.

Ok.

J'ai un problème avec toi, Mark.

Avant que tu t'en mêle, il n'était pas question que le monde entier connaisse mes allées et venues dans le monde. Il n'était pas question de savoir que la fille avec qui j'ai déjà joué aux Barbie est maintenant la pire des salopes qui se déshabille elle-même sans problème. Moi, avant 2006 (ok 2008, je suis pas si cool que ça), si j'avais envie de courir toute nue jusqu'en bas de la rue avec mes amis, je le faisais. Je le faisais même aller-retour.

Moi, Mark, avant 2008, j'étais une femme libre.

Ouais, libre.

J'avais pas cette paranoïa d'être photographiée au mauvais endroit, au mauvais moment. De toute façon, avant 2008, ça ne me dérangeais pas que personne ait apporté son appareil photo pour immortaliser nos moindres faits et gestes. J'avais pas besoin que tout soit étiqueté. J'avais pas besoin de mettre des titres clairs sur toutes mes soirées, sur toutes mes expressions de visage, sur toutes les facettes de ma vie.

Quoi? Tu trouves que j'exagère?

Tu m'en reparlera quand ça fera trois nuits consécutives qu'un gars que tu fréquentes dorme chez toi, que sa brosse à dent et son rasoir soient dans ta salle de bain, qu'il soit allé faire l'épicerie pour te faire à manger pis qu'il te fasse une blague sur le fait de se mettre in a relationship sur ton osti de site.

La prochaine fois, garde tes idées de génie pour toi.

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