Une tasse de thé fumant.
La musique de Satie qui accompagne celle des gouttes de pluie sur ma fenêtre.
Un chandail de laine, une immense couverture.
Un fauteuil confortable.
Les orteils au chaud.
Et rien d’autre à faire sinon que de respirer.
Comment est-ce qu’on dit ça, déjà? Ah oui.
Dans mes rêves.
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